jeudi 15 janvier 2009

Israël ou le silence complice des dirigeants occidentaux


Lors de sa visite en Israël, la chancelière allemande, Angela Merkel, a expliqué que, « vu sa responsabilité pour la Shoah, le gouvernement allemand (...) souligne sa détermination à bâtir un avenir » avec Israël. Soit. Mais faut-il pour cela que cet avenir se fasse au détriment du peuple palestinien ? Car Mme Merkel, toute émue qu’elle était, bien que ce soit déjà son troisième voyage au même endroit, n’a pas eu un mot de protestation lorsque le premier ministre israélien, Ehud Olmert, a profité de l’occasion pour affirmer qu’Israël poursuivra la construction de logements dans le quartier de colonisation de Har Homa, à Jérusalem-Est, occupée et annexée. En violation donc de toutes les lois internationales et des résolutions de l’ONU.

C’est là que le bât blesse. Pas un dirigeant occidental n’ose rompre avec cette pratique de silence et, disons-le, de lâcheté, qui consiste à ne jamais contredire un dirigeant israélien, ni dénoncer une politique colonialiste et qui s’appuie depuis 1947 sur le nettoyage ethnique des Palestiniens. Shimon Peres, le président israélien, lors de son récent passage à l’Élysée, a encore utilisé les vieilles ficelles de la propagande sioniste pour faire croire qu’en 1948 « quarante millions d’Arabes dotés de sept armées bien équipées attaquèrent Israël, qui ne comptait pas plus de six cent cinquante mille âmes, n’avait pas encore d’armée et presque pas d’armes ». Une thèse mensongère et réfutée par les historiens israéliens eux-mêmes.
Il faut rétablir la vérité historique et faire pression sur nos élus - à tous les niveaux - pour qu’ils prennent les mesures qui s’imposent (y compris des sanctions économiques) afin qu’Israël se conforme au droit international.
Il en va de l’avenir du peuple israélien mais surtout du peuple palestinien qui attend désespérément un État viable, après soixante ans de souffrance.

vendredi 9 janvier 2009

12 règles infaillibles pour la rédaction des informations sur le moyen orient dans les grands moyens de communication

  1. Dans le moyen orient sont toujours ceux qui attaquent les premiers, et toujours c’est israel qui se défend. Cette défense s’appelle « représailles ».
  2. Ni les arabes, ni les palestiniens, ni les libanais ont le droit de tuer des civiles. Ça s’appelle le « terrorisme ».
  3. Israel a le droit de tuer des civils et des enfants. Ça s’appelle « la défense légitime »
  4. Quand israel tue des civils en masse, les puissances occidentales demandent qu’elle le fasse avec une plus grande prudence. Cela s’appelle «la réaction de la Communauté internationale ».
  5. Ni palestiniens ni libanais ont le droit de capturer des soldats israéliens dans des installations militaires avec des gardiens et des postes de combat. Ça il faut l'appeler « kidnapping de personnes sans défense ».
  6. Israël a le droit de kidnapper à n’importe quelle heure et dans tous les lieux à autant de palestiniens et libanais. Son chiffre actuel ronde 10 000, 300 d’eux sont des enfants et aussi mille femmes. Sans nécessité de montrer aucun motif de culpabilité par israel. Israël a le droit de maintenir kidnappés des prisonniers indéfiniment, même s’ils déjà des autorités démocratiquement choisies par les palestiniens. À cela on lui appelle « emprisonnement de terroristes ».
  7. Quand on mentionnera le mot « Hezbollah », il est obligatoire d'ajouter dans la même phrase « soutenus et financés par la Syrie et par l'Iran ».
  8. Quand on mentionnera « Israël », il est interdit d’ajouter : « soutenus et financés par les USA ». Cela pourrait donner l'impression que le conflit est inégal et de que l'existence d'Israël ne court pas danger.
  9. Dans des informations sur israël, il faut éviter toujours qu'apparaissent les locutions suivantes : « Territoires occupés », « Résolutions de l'ONU », « Violations des Droits Humains » et « Convention de Genève ».
  10. Les palestiniens, et les Libanais, sont toujours des « lâches » qui se dissimulent entre une population civile qui « ne les veut pas ». S'ils dorment en maison avec leurs familles, cela a un nom : « lâcheté ». L'Israël a le droit de détruire avec des bombes et missiles les quartiers où ils dorment. À cela on lui appelle « action chirurgicale de haute précision ».
  11. Les israéliens parlent mieux anglais, français, espagnol ou portugais que les arabes. C'est pourquoi ils méritent d'être interviewés avec une plus grande fréquence et avoir plus d’opportunités d'occasions que les arabes pour expliquer au grand public les présentes règles de rédaction (du 1 à 10). À cela on lui appelle « neutralité journalistique ».
  12. Toutes les personnes qui ne sont pas d'accord avec ces règles, sont, et ainsi doit se faire remarquer, « des terroristes antisémites de haut danger ».

Doce reglas infalibles para la redacción de noticias sobre Oriente Próximo en los grandes medios de comunicación

  1. En Oriente Próximo son siempre los árabes quienes atacan primero, y siempre es Israel quien se defiende. Esa defensa se llama "represalia".
  2. Ni árabes, ni palestinos ni libaneses tienen derecho a matar civiles. A eso se le llama "terrorismo".
  3. Israel tiene derecho a matar civiles. Eso se llama "legítima defensa".
  4. Cuando Israel mata civiles en masa, las potencias occidentales piden que lo haga con mayor comedimiento. Eso se llama "reacción de la comunidad internacional".
  5. Ni palestinos ni libaneses tienen derecho a capturar soldados israelíes dentro de instalaciones militares con centinelas y puestos de combate. A eso hay que llamarlo "secuestro de personas indefensas".
  6. Israel tiene derecho a secuestrar a cualquiera hora y en cualquier lugar a cuantos palestinos y libaneses se le antoje. Su cifra actual ronda los 10 mil, 300 de los cuales son niños y mil, mujeres. No se precisa prueba alguna de culpabilidad. Israel tiene derecho a mantener secuestrados presos indefinidamente, ya sean autoridades democráticamente elegidas por los palestinos. A eso se le llama "encarcelamiento de terroristas".
  7. Cuando se menciona la palabra "Hezbollah", es obligatorio añadir en la misma frase "apoyados y financiados por Siria y por Irán".
  8. Cuando se menciona "Israel", está terminantemente prohibido añadir: "apoyados y financiados por los EEUU". Eso podría dar la impresión de que el conflicto es desigual y de que la existencia de Israel no corre peligro.
  9. En informaciones sobre Israel, hay que evitar siempre que aparezcan las siguientes locuciones: "Territorios ocupados", "Resoluciones de la ONU", "Violaciones de los Derechos Humanos" y "Convención de Ginebra".
  10. Los palestinos, lo mismo que los libaneses, son siempre "cobardes" que se esconden entre una población civil que "no los quiere". Si duermen en casa con sus familias, eso tiene un nombre: "cobardía". Israel tiene derecho a aniquilar con bombas y misiles los barrios donde duermen. A eso se le llama "acción quirúrgica de alta precisión".
  11. Los israelíes hablan mejor inglés, francés, castellano o portugués que los árabes. Por eso merecen ser entrevistados con mayor frecuencia y tener más oportunidades que los árabes para explicar al gran público las presentes reglas de redacción (de la 1 a la 10). A eso se le llama "neutralidad periodística".
  12. Todas las personas que no están de acuerdo con las sobredichas Reglas, son, y así debe hacerse constar, "terroristas antisemitas de alta peligrosidad".

mercredi 7 janvier 2009

TERRORISME

UN GRAND SPECILAISTE NORVEGIEN EN DROIT INTERNATIONAL ET SPECIALISTE EN TERRORISME DEMANDE A TOUT LE MONDE D'UTILISER LE TERME 'TERRORISME' A PROPOS D'ISRAEL .
" ...NE PARLEZ PLUS D'ACTION MILITAIRE ISRAELIENNE , CAR VOUS JOUEZ LE JEU DES IDEOLOGUES RACISTES DE L'ETAT D'ISRAEL ET VOUS LEGITIMEZ LEURS ACTES TERRORISTES. LE TERRORISME N'EST PAS UN PRENOM MUSULMAN. LE TERRORISME EST L'ENSEMBLE DES ACTES QUI TERRORISENT LES INNOCENTS ET VIOLENT LE DROIT HUMANITAIRE..QU'ILS QU'EN SOINET LES AUTEURS ET LEUR APPARTENANCE RELIGIEUSE OU POLITiQUE...."